Des dizaines de milliers de personnes ont défilé, dimanche 29 novembre, un peu partour dans le monde. Ces citoyens expriment l’ambition du changement, la volonté que la COP21 débouche sur un accord ambitieux. Les négociateurs entendront-ils leur message?
Plus de 570 000 personnes ont participé aux 2 300 marches pour le climat ce week-end à travers le monde, selon les premières estimations fournies dimanche par l’un des organisateurs, l’ONG Avaaz.
En Australie, plusieurs dizaines de milliers de personnes de tous les âges se sont rassemblées à Melbourne, vendredi 27 novembre.
A Munich, les manifestants habillés de blanc pour reproduire un glacier sont rassemblés dans le parc olympique de la ville, dimanche 29 novembre.
A Athènes, en Grèce, le 29 novembre.
A Berlin, le 29 novembre.
« Il n’y a pas de planète B », peut-on lire sur cette pancarte brandie lors d’un rassemblement à Berlin.
A Madrid, le 29 novembre.
Dans la ville australienne de Sydney, une marche a eu lieu dimanche 29 novembre.
A Tokyo, au Japon, le 28 novembre.
A Tokyo, au Japon, lors d’une manifestation dans le cadre de la Parade pour la Terre, le 28 novembre.
A Nantes, des manifestants ont formé une chaîne humaine samedi 28 novembre
Chaîne humaine à Marseille.
Ou encore, « Protégez notre maison commune ! ».
Environ 3 000 personnes ont défilé samedi 28 novembre à Manille, aux Philippines, frappées régulièrement par des cyclones attribués au dérèglement climatique.
A vienne, le 29 novembre.
Rassemblement à Dhaka, au Bangladesh, le 28 novembre.
« Justice climatique maintenant », pouvait-on lire sur une des pancartes des manifestants.
Manifestation dans le centre ville de Johannesburg, le 28 novembre.
Quelque 700 personnes se sont réunies dans la capitale de l’Afrique du Sud.
Chaîne humaine pour le climat à Lyon, le 29 novembre.
« Planète je t’aime », peut-on lire sur une pancarte en forme de cœur brandie à Genève, le 28 novembre.
A Oslo, en Norvège, le 28 novembre.
A Genève, le 28 novembre.
A Fribourg, en Allemagne, le 28 novembre.