Il faut aborder la COP de Paris d’une façon totalement différente que les précédentes.
On est face à un événement (plutôt un ensemble d’événements) qui comporte des caractéristiques fortes
L’événement lui-même
- Un dénouement (la négociation internationale) sur lequel on n’a pas de portée,
- Une bouffée médiatique très importante dans le second semestre 2015,
- Il faut identifier très tôt des projets forts et fédérer des acteurs autour
L’économie de l’événement - Des moyens financiers importants – de tous types – seront accessibles, mais avec le risque d’un engagement très tardif (en 2015),
- La tendance forte de l’Etat à vouloir concentrer les initiatives sur des projets fortement structurés (mais cela viendra-t-il suffisamment tôt).
- Les difficultés de prise en charge
- Un risque initial d’initiatives désordonnées et en partie redondantes qui s’enlisent,
- Un pilotage public mal articulé (entre le contenu de la négociation, la logistique matérielle, la communication, l’animation de la société civile…),
- Une montée en puissance progressive indispensable qui nécessite de trouver des alliances précoces,
- Un besoin de dimensionnement important de moyens humains sans prolongement possible au-delà de fin 2015,
- Un contexte concurrentiel fort de la part de structures de tous types qui voudront se valoriser lors de cet événement fort.
- Explicitation enchainement ODD / O0MD – COP
- et blablabla